À la fin du XIXe siècle, des racistes anti-juifs (dont Léo Taxil, Wilhelm Marr) utilisèrent sémite comme synonyme de juif, et forgèrent l'adjectif « antisémite ». Certaines associations anti-racistes estiment que cette construction étymologique est source de confusion car

• tous les juifs ne sont pas des « sémites », et tout spécialement dans le contexte européen
• et inversement les sémites sont les descendants de l'ensemble des peuples ayant parlé ou parlant les langues sémitiques (Arabe, Cananéen, Hébreu, Phéniciens, Araméen, Babylonien, Ethiopique, etc.). Les Hébreux ne sont qu'une petite partie, contrairement aux Arabes.

Sémitique vient de Sem, un des fils de Noé, duquel, selon la Bible, seraient issus plusieurs peuples (Hébreux, Arabes, Elamites, Araméens, Assyriens et Phéniciens)

Les européens qui ont embrassé le judaïsme ne sont pas sémites. Si la religion est transmise par la mère, les mariages mixtes ont engendré des juifs polonais, allemands, français, anglais, etc. non sémites.

En Israël, les juifs russes bien pâles et blonds dénotent des sémites notamment les Palestiniens, les sépharades, et ceux appelés « arabes israélien ».

S’il y des sémites, parmi les plus légitimes ce sont bien les arabes. L’antisémitisme les concerne, eux d’abord.

Aucun fait n’est rapporté à ce sujet.

Au cours de discussions passionnées entre ashkénazes et sépharades, ce sujet revient avec sa dose de griefs et de culpabilité. Pour les ashkénazes, les sépharades n’ont pas bougé.

Avant l’apparition du judaïsme, les archéologues indiquent que la colline de Jérusalem[1] avait été occupée au IVème millénaire av. J.-C., abandonnée puis investie à nouveau vers 1800 avant notre ère. Dans la région appelé Canaan (actuel Liban, Palestine, Jordanie), Jérusalem devient une des cité-Etats. Le nom de la ville apparaît dans un texte d’exécration (texte comprenant une malédiction) égyptien. Au XVIème siècle av. J.-C. Jérusalem est dirigée par Abdi-Heba, vassal du Pharaon. D’après les tablettes égyptiennes et les Lettres d’Amarna, ce vassal en appelle au Pharaon pour se protéger des attaques de pillards, les Apirou.

Plus tard les « proto-israélites » apparaissent. Ce sont les seuls à ne pas consommer le porc. De ce fait, les archéologues les tracent facilement, ils les datent à 1200 av. J.-C. D’abord nomades, les israélites se sédentarisent notamment sur les hautes terres. Les Philistins occupent la partie côtière méridionale de la région.

Avec la succession des empires et autres puissances, Jérusalem passe de main en main. Elle a plus été un carrefour occupé par une succession de régimes qu’une propriété de quiconque. Parmi les « propriétaires » de Jérusalem, il y a eu l’ère des Pharaons et la vassalisation de Jérusalem comme d’ailleurs Gaza, puis les Babyloniens, les Perses, les Hébreux, les Romains, les Byzantins, le Royaume Latin, les Mamelouks, les différents Califats avec un court intermède des Croisés, les Ottomans, les Britanniques, les Jordaniens, les Israéliens pour Jérusalem Ouest, l’Autorité Palestinienne pour Jérusalem Est occupée par les Israéliens. La ville a même été internationalisée pendant les années 60.

En 1967, c’est la guerre des « six jours ». Dans la nuit du 10 au 11 juin, L’armée israélienne chasse les Palestiniens, chrétiens et musulmans, du quartier historique datant de 1193. Elle détruit leurs habitations. La société israélienne procède au terrassement du lieu pour créer une large esplanade face au Mur des Lamentations.

[1] Michaël Jasmin, Histoire de Jérusalem, Puf, coll. « Que sais-je ? », 2018

L’aide dépasse les 3 milliards. Qui plus est, Israël a le droit de puiser dans les stocks d’armes et munitions déposés par les USA en Israël au titre de point avancé de logistique.

En effet, début 1941 le Plan Madagascar prévoyait l’exfiltration des juifs allemands vers cette île. Les difficultés de transport maritime sur des mers dominées par la Navy ont fait capoter ce plan. Voir les détails et références dans le chapitre de ce livre : « L’implantation du sionisme en Palestine et ses conséquences »

Dans leur quête d’« une terre sans peuple pour un peuple sans terre », les sionistes dits « territorialistes » identifient l’Ouganda comme une possibilité. Ce territoire fait partie du Kenya sous Protectorat Britannique, 1894 à 1962. Les Britanniques envisagent de céder plus de 8000 km².

Le cumul anti démocratique d’Israël ne l’empêche pas d’obtenir l’étiquette de « Pays démocratique ». Cela lui vaut le statut qui lui permet d’obtenir des aides de l’UE, un accès privilégié à l’OCDE et ses facilités.
Le cumul anti-démocratique est multiple :
• Pillage des ressources naturelles palestiniennes (Eau, Gaz, Minerais, Terres arables, …),
Légalisation en 2017 à posteriori des colonies établies sur des terres
• privées palestiniennes,
• Politique expansionniste, de colonisation depuis sa création, actuellement en Cisjordanie et Gaza,
• Séparatisme, pour ne pas dire apartheid imposé aux Palestiniens,
• Opacité sur son armement nucléaire non soumis au débat citoyen,
• Religion inscrite dans l’état civil.
• Soixante-dix condamnations pour non-respect du Droit International,

Charles Enderlin, journaliste grand-reporter et auteur Franco-israélien en a publié un essai. Durant trente-cinq ans, de 1981 à 2015, C Enderlin a été le correspondant à Jérusalem de la chaîne de télévision française France 2.

Avec une peau douce et presque sans pépins, la variété « Orange de Jaffa » avait été développée dès le XIXème siècle par des agriculteurs arabes. En 1939, neuf ans avant la création d’Israël, la production à l’export était de 15 millions de caisses.
Voir les détails et les références dans le chapitre de ce livre « Les ressources naturelles au service des deux peuples … »

Eilat était en fait un port de pêche égyptien Umm Rashrash. Pré conquis par un commando juif en 1947, deux brigades israéliennes achèvent la conquête définitive d’Umm Rashrash en mars 1949. Le port devient Eilat en 1952.

« L’Europe nous a vomit en Palestine ». Shlomo Sand est un historien Israélien de la nouvelle génération. Né en Hongrie avec ses parents il émigre en Palestine à l’âge de quatre ans. Face aux sionistes et aux antisionistes, il se déclare post-sioniste.

De nombreux auteurs ont décortiqué et décodé le racisme antijuif en occident. David Nirenberg, référence mondiale dans la catégorie des historiens des idées a titré son livre de 675 pages :

« L’antijudaïsme, un des piliers de la pensée occidentale ». Les références des livres ci-dessus sont dans le chapitre « Naissance de l’antisémitisme européen, le moteur du complexe chrétien », dans la seconde partie de ce livre.

Si une poignée de riches ont vendu leurs propriétés, la grande majorité des Palestiniens a bel et bien été chassée. Des dizaines de milliers, balluchons sur le dos se sont dirigés vers les trois coins de la Palestine : vers le nord au Liban et en Syrie, vers l’est en Jordanie, vers le sud à Gaza sous administration britannique puis égyptienne.

Ilan Pappé, historien israélien né en 1954 à Haïfa, a publié plusieurs livres sur ce drame. Son livre « Une terre pour deux peuples » précédemment édité chez Fayard depuis 2004 ne fait plus partie du catalogue. Cependant, en Mai 2024, son nouveau livre « Le nettoyage ethnique de la Palestine » sera en librairie via La Fabrique éditions.

À l’appui de quantité d’archives, l’auteur donne les détails de la mise en exil de centaines de milliers de Palestiniens entre 1947 et 1949. Il décompte plus de 400 villages palestiniens délibérément détruits. Il mentionne les massacres perpétrés par les milices sionistes du Stern et ceux de l’Irgoun, et les violences de la milice Haganah. Ce processus a repris de plus belle en 1956, 1967, 1973, 2009, 2014, et 2023-24. De cycle en cycle la proportion des Palestiniens tués augmente. Pour les dernières expulsions en date, il y a plus de 25.000 morts pour 800.000 palestiniens chassés.

Parmi les riches propriétaires qui ont vendu leurs terres, il y a ci-dessous trois exemples.

Mahmoud S. Rabbani (Haifa, 2 May 1934 – Wassenaar, 30 May 2002) a utilisé les revenus de ses ventes pour émigrer et créer une Fondation portant le prénom de sa mère.
Echaudé par le drame en Palestine, M Rabbani milite pour le dialogue Arabo- européen. C’est l’objectif de cette fondation.
“By success I mean ensuring that all parties are treated equitably, and that none are left with the feeling that peace has been achieved at their expense. For such a peace is, in the end, no peace at all and only the spark for a further conflict.”
Founder - Lutfia Rabbani Foundation

Les Shawwa ont gardé leurs orangeraies. Les Israéliens les ont autorisés à revenir sur leur terrer uniquement en tant qu’américains. Il fallait éviter une jurisprudence du « droit de retour » aux Palestiniens. En effet, seuls les juifs du monde entier ont ce droit.

Lors de la pression sioniste sur les quelques propriétaires terriens syriens et libanais, la famille libanaise Sursock a cédé ses 40.000 dounam au nord de la Palestine, soit 40.00 hectares.

Non ceux sont bien les juifs d’Europe qui ont gagné la course. De surcroît, ils sont majoritaires en Israël. En 2023, les juifs dits Ashkénazes, ceux venus d’Europe, des USA et de l’ex URSS représentent 62% de la population juive. Les sépharades représentent 38%.
Les sépharades notamment ceux des pays du Maghreb ont préféré émigrer en Europe, surtout en France.

Né le 10 septembre 1946 à Linz en Autriche, Shlomo Sand un historien israélien spécialisé dans l'histoire contemporaine l’exprime autrement.
« L’Europe nous a vomit en Palestine »
S Sand est professeur à l'université de Tel Aviv depuis 1985 et fait partie des nouveaux historiens israéliens.

Si les juifs ont effectivement fui en masse les persécutions européennes, c’est en priorité vers les Etats-Unis. D’après l’historien israélien Shlomo Sand, « En 1925, il y avait 1,8 millions de juifs qui ont émigré aux Etats-Unis et pas en Palestine »

Concernant la Palestine alors sous mandat Britannique, la colonisation par les juifs était cadencée par le Plan Britannique. Son objectif était de faire passer la population juive en Palestine de 8% en 1920, à 30% en 1937. Voir les détails du processus dans le sous-chapitre « L’implantation du sionisme en Palestine et ses conséquences »

Étonnamment, après des années de guérillas et de soulèvement populaire, Intifada, pour faciliter sa stratégie de Paix, Arafat accepte moins du quart ce qu’était la Palestine. Il va jusqu’à renoncer au droit du retour pour les réfugiés chassés de chez eux lors des guerres successives (1948, 1956, 1967, 1973…)

En effet, la bombe nucléaire israélienne est française de A à Z. Ce fait, au même titre que l’antisémitisme en France, est à rappeler à bon nombre de Français qui disent « la guerre en Israël ne me concerne pas ». Shimon Pérès, conseiller auprès de David Ben Gourion, fondateur d’Israël, brille par son agilité au sein des milieux politiques français. Il saisit l’occasion du rapprochement franco-israélien lors de la crise de Suez en 1956 pour obtenir l’accès aux secrets nucléaires jalousement gardés par la France. Il obtient un accord avec le CEA (Centre d’Etude Atomique, basé à Saclay) sur la construction d’un réacteur nucléaire. Mieux, il obtiendra les technologies françaises d’extraction de plutonium et la livraison d’uranium.
Voir les détails et les références dans le chapitre « Israël et la bombe nucléaire, ambiguïtés et opacité, démocratie bafouée »

Dans les années 30, avec la montée du nazisme, et malgré la politique britannique de judaïsation de la Palestine (plus de 30% en 1940), Albert Einstein préfère émigrer aux Etats-Unis. Ce physicien auteur de la théorie de la Relativité a formé Oppenheimer, le père de la bombe atomique américaine.

Einstein n’a jamais adopté la nationalité israélienne. Il a été successivement allemand, apatride, suisse. Pour finir il a eu la double nationalité helvético-américaine.

Einstein refuse de présider Israël
En 1952, à la mort de Weizman, Ben Gourion le créateur de l’Etat d’Israël, le sollicite pour la présidence de l’Etat. Tel que révélé par sa fille Margot : « Si je devais être président, j'aurais parfois à dire au peuple israélien des choses qu'il n'a pas envie d'entendre. »

Einstein dénonce le fascisme sioniste
Dès 1948, son nom apparait parmi les cosignataires juifs d’une déclaration dénonçant la fascisation d’Israël :
Isidore ABRAMOWITZ, Hannah ARENDT, Abraham BRICK, Rabbi Jessurun CARDOZO, Albert EINSTEIN, Herman EISEN, M.D., Hayim FINEMAN, M. GALLEN, M.D., H.H. HARRIS, Zelig S. HARRIS, Sidney HOOK, Fred KARUSH, Bruria KAUFMAN, Irma L. LINDHEIM, Nachman MAISEL, Seymour MELMAN, Myer D. MENDELSON, M.D. Harry M. OSLINSKY, Samuel PITLICK, Fritz ROHRLICH, Louis P. ROCKER, Ruth SAGIS, Itzhak SANKOWSKY, I.J. SHOENBERG, Samuel SHUMAN, M. SINGER, Irma WOLFE, Stephan WOLF.

Dans une lettre adressée à M. Shepard Rifkin, Directeur exécutif des Amis Américains des Combattants pour la Liberté d’Israël, il écrit :
Cher Monsieur,
Lorsqu’une catastrophe réelle et finale nous surprendra en Palestine, les premiers responsables seront les Britanniques et les seconds seront les organisations terroristes nées de nos rangs.
Je ne veux voir personne qui soit associé à ces gens qui font fausse route et sont des criminels.
Sincèrement vôtre,

actuellement en Israël, il y a des juifs pratiquants, des juifs non pratiquants, des juifs athées, et en citoyens de seconde zone il y des arabes musulmans et des arabes chrétiens. Dans les territoires Palestiniens occupés, mis à part les colons juifs extrémistes, parmi les Palestiniens il y a des chrétiens, des athées et des musulmans.

Les Palestiniens chrétiens appartiennent à plusieurs rites : grec-orthodoxe, grec-catholique, latin, protestant.
Les Palestiniens sont parmi les plus patriotes. Deux d’entre eux ont fondé et dirigé des puissantes organisations : Georges Habache, grec-orthodoxe pour le Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP), Nayef Hawatmeh, grec-catholique pour le Front Démocratique et Populaire de Libération de la Palestine (FDPLP). A elles deux, ces centrales pèsent aussi lourd que le Fath de Yasser Arafat.
Ces trois organisations sont laïques.

Comme pour l’Irlande, si dans la rhétorique guerrière certains font apparaître des slogans religieux, la religion n’est qu’un des leviers d’une guerre entre un colonisateur et un colonisé.
En Palestine, il s’agit d’une guerre de territoires et de ressources.

De facto et comme conséquence d’une perception négative, les « arabes israéliens » sont exclus des centres de pouvoir. Ils sont sous-représentés dans les institutions gouvernementales. Ils accusent un retard important par rapport à leurs compatriotes juifs, en termes de revenu, éducation, infrastructures, emploi, justice, services sociaux etc.
En écartant les Palestiniens gérés sous régime militaire israélien ou régime d’occupation, ceux restés en Israël en 1948 n’ont pas les mêmes droits que les autres citoyens Israéliens.
• Le drapeau israélien ne concerne que les juifs,
• Le droit du retour s’adresse aux juifs du monde entier, pas aux Palestiniens,
• Les dispositions constitutionnelles en vigueur ni celles qui ont déclenché des manifestations de la jeunesse israélienne avant le 7 octobre 2023 ne prennent pas en compte les réalités ethniques et nationales de l’Etat d’Israël.

En 2024, force est de constater cinq statuts différents pour les Palestiniens sous juridiction israélienne. Le sixième statut est celui induit par le commandement N°40. Ben Gourion l’a dicté le 22 novembre 1948. N’ayant jamais été abrogé, les soldats, les agents des services de renseignement interne et externe (Shin Beth, Mossad), les colons l’exécutent chaque jour sans souci.

NB : l’Histoire ne change pas seulement les noms des lieux, Umm Rashrash pour Eilat, mais aussi le nom des peuples, Palestiniens pour « arabes israéliens ». Une manière d’effacer un peuple !

Marek Edelman, un des dirigeants du ghetto de Varsovie se refuse de joindre l’autre ghetto en constitution en Palestine qui deviendra Israël. Il reste en Pologne, devient cardiologue, émigre en France avant de revenir à Varsovie. A propos du projet sioniste il déclare :
« Chez moi, il n’y a de place ni pour un peuple élu, ni pour une terre promise. (...) Quand on a voulu vivre au milieu de millions d’Arabes, on doit se mêler à eux, et laisser l’assimilation et le métissage faire leur œuvre. »

Reprise ci-dessous d’un extrait du chapitre « La diaspora et le mécanisme du rejet », dans le paragraphe « Exil et Conversions »

Concernant l’amalgame fait par Le Président Macron à propos d’antisionisme et antisémitisme et d’évoquer une loi à ce propos, l’historien israélien S Sand précise :
« La tentative du président français Emmanuel Macron et de son parti visant aujourd’hui à criminaliser l’antisionisme comme une forme de l’antisémitisme s’apparente à une manœuvre cynique et manipulatoire. Si l’antisionisme devenait une infraction pénale, je recommanderais à Emmanuel Macron de faire condamner, à titre rétroactif, le bundiste (mouvement socialiste juif sous le régime du Tsar) Marek Edelman, qui fut l’un des dirigeants du ghetto de Varsovie et totalement antisioniste. Il pourrait aussi convier au procès les communistes antisionistes qui, plutôt que d’émigrer en Palestine, ont choisi de lutter, les armes à la main, contre le nazisme, ce qui leur a valu de figurer sur « l’affiche rouge ».

S’il entend faire preuve de cohérence dans la condamnation rétroactive de toutes les critiques du sionisme, Emmanuel Macron devra y joindre ma professeure Madeleine Rebérioux, qui présida la Ligue des Droits de l’Homme, mon autre professeur et ami : Pierre Vidal-Naquet, et aussi, bien évidemment : Éric Hobsbawm, Edouard Saïd, et bien d’autre éminentes figures, aujourd’hui décédées, mais dont les écrits font encore autorité.

Si Emmanuel Macron souhaite s’en tenir à une loi réprimant les antisionistes encore en vie, la dite-future loi devra aussi s’appliquer aux juifs orthodoxes de Paris et de New-York qui récusent le sionisme, à Naomi Klein, Judith Butler, Noam Chomsky, et à bien d’autres humanistes universalistes, en France et en Europe, qui s’auto-identifient comme juifs tout en s’affirmant antisionistes »

Ronald Storrs n’a pas participé à l’agression contre l’Egypte. Décédé le 1er novembre 1955, il n’a pas pu se joindre à ladite agression datant de 1956.
Sur le modèle de la colonisation de l’Irlande du Nord par les Anglais, c’est bien Ronald Storrs, gouverneur de Jérusalem sous l’Empire Britannique, qui a organisé la colonisation juive en Palestine dès 1917. C’est ainsi que la population juive en Palestine est passée de 9 à 30% entre 1920 et 1940. C’était avant la Shoah.

En effet, contrairement au Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP) fondé par Georges Habache, le FDPLP fondé par Nayef Hawatmeh (arabe chrétien de rite Melkite) est une organisation certes armée, néanmoins politique. Son fondateur a participé aux négociations israélo-palestiniennes.

Depuis 1970, Israël détient le record mondial de condamnations pour non-respect du droit international. Les résolutions de l’ONU à son encontre sont systématiquement barrées par le veto américain.

En effet, les réserves se chiffrent à plusieurs trillions de mètres cubes. Elles sont supérieures à celles au large des plages israéliennes.
Voir les détails et les références dans le chapitre de ce livre « Les ressources naturelles au service des deux peuples … »

Au XVIème siècle, près d’une fonderie (ghetto en italien) à Venise, les Italiens y constituent un quartier réservé aux juifs. La paternité du mot « pogrom » revient aux Russes. Dans leur langue, ce mot signifie destruction, pillage, dévastation. C’est ce qu’ils feront subir aux juifs russes, provoquant ainsi une émigration massive vers l’Europe de l’Ouest. Voir les détails et les références dans le chapitre de ce livre « Les péripéties dramatiques du XVIème au XXème siècle »

En 1492-93, les « Rois Catholiques », Isabelle Reine de Castille et son époux Ferdinand II d'Aragon, expulsent d’Espagne les musulmans et les juifs. Voir les détails et les références dans le chapitre de ce livre « Les péripéties dramatiques du XVIème au XXème siècle »

Le Yiddish est une langue hébraïque intégrant des mots en allemand, en polonais, etc.

La garantie américaine des emprunts bancaires israéliens annuels équivaut à plus de 20 milliards de dollars.